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Plus les fruits et légumes sont consommés tôt après leur récolte, plus leurs apports nutritionnels sont importants. Consommer de saison c’est limiter le temps entre la récolte et la consommation, donc manger des produits aux meilleures qualités nutritives, car non cueillis avant maturité. Ils possèdent notamment une plus grande teneur en anti-oxydants, qui permettent le renouvellement des cellules et ralentissent le vieillissement…
La production de masse implique l’utilisation d’engrais et de pesticides chimiques, d’hormones ou encore d’antibiotiques pour l’élevage intensif, qui sont toxiques et peuvent être néfastes pour la santé. A l’inverse, en agriculture biologique ou raisonnée, l’absence - ou l’utilisation très limitée - de pesticides amène les fruits et légumes à se défendre eux-mêmes face aux agressions extérieures, produisant ainsi encore plus d’anti-oxydants. CQFD.
En France, 25% des éleveurs et agriculteurs gagnent moins que le RSA, 40% disposent d’un revenu inférieur au SMIC. Or une vente plus directe – le circuit court implique au maximum un intermédiaire entre le producteur et le consommateur – signifie plus d’argent directement pour les producteurs !
Sachez que sur 100€ dépensés en supermarché, 37€ reviennent aux supermarchés, 13€ à l’industrie agroalimentaire et seulement 8€ aux producteurs.
Sur 100€ dépensés en circuit court, via des épiceries paysannes, les marchés ou des sites de ventes en ligne, plus de 50% reviennent aux producteurs. Cela permet donc une meilleure rétribution du travail des agriculteurs, qui peuvent vendre leurs produits à un prix juste !
En parallèle, une consommation locale permet la création d’emplois régionaux en encourageant la réimplantation des producteurs. Et au-delà de ces aspects économiques, les circuits courts rétablissent le lien et les échanges entre consommateurs et producteurs et participent à une autre logique de distribution.
Savez-vous qu’un yaourt aux fruits industriel parcourt au global plus de 9000 km avant d’arriver dans notre assiette ?
En consommant local, nos produits parcourent au maximum 100 km depuis leur lieu de production jusqu’à chez nous. Hors circuits courts, c’est aujourd’hui 1500 kilomètres en moyenne… On vous laisse faire le calcul des quantités de CO2 et autres gaz à effets de serre ainsi économisés :)
Penser local, c’est aussi refuser la consommation de masse et manger des produits de saison, donc respectueux de l’environnement. Un fruit importé hors saison demande 10 à 20 fois plus de pétrole que le même fruit produit localement. Les fruits et légumes hors saison incitent aussi à la culture sous serre, très gourmande en eau et en chauffage.
Et ce n’est pas tout…nos producteurs privilégient une agriculture biologique ou raisonnée. Elles permettent également une plus grande diversité de variétés cultivées, plus adaptées aux sols et aux climats, et entretiennent ainsi la richesse que nous offre la nature. La biodiversité et la richesse des terres et des terroirs sont préservées. Quoi de mieux pour la planète ?
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